26 janvier 2010
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11:55
L'histoire imaginaire,mais oh combien réelle entre un salarié d'un certain age et un patron.
Cela ne se passe point au siècle dernier,mais en 2010:
Le Français utilisé par contre est du XVIII siècle
Cet ouvrier souhaite rapidement trouver un emploi en promettant tout les sacrifices possibles à ce patron.
Le patron:
Qui est tu donc maudit va nu pieds pour ainsi sans révérence,m'infliger ta présence?
Le chômeur : Cruel,ne le soyez point,même si dans ce lieu culturel,inopinément,je viens troubler.
Le patron: Triste maraud! cruel,je ne le suis point!
Le chômeur: Sachez,que de pain et de gourdin,je n'ai nul besoin! juste un peu d'entrain.
Le patron: L'entreprise est en crise,et ce lourd fardeau,je le porte sur le dos:
Le chômeur: La société sur votre dos et moi sur le carreau!
Le patron: Tu n'est qu'un sot,néanmoins de ces quelques heures de travail,je t'en fait charité.
Le chômeur: Mes enfants ont besoin d'être choyés,et n'ont que faire de votre pitié!
Le patron: Hors de ma vue,triste gredin et prend cette bouteille,elle te fera grand bien!
Le chômeur: Par tous les saints,le vin ne me rendra point serein!
Comme je vous le disais,un peu de labeur,ne me fait nullement peur.
Le patron: Sans ambage,il est à craindre que ton âge,ne te fasses point outrage!
Le chômeur: Sur que non! C'est le chômage qui fit saccage de mon visage.
Le patron: C'est ce que l'ont me dit souvent,en attendant mon brave,je te sens quelque peut raidi.
Le chômeur: Raidit! Vous n'y pensez pas! Attendez que je vous remonte votre débit!
Le patron: A jouer les volontaires,cela ne me plaît guère.
Le chômeur: Mettez moi en place,et sur le terrain,je ferais façe.
Le patron: Mais de tes diplômes,il n'y en a trace!
Le chômeur: Le lycée fut calamité,et le chemin bien trop escarpé!
Le patron: De tes simagrées,je n'en ai cure!
Le chômeur: Être simple ouvrier,pour sur cela me conviendrait Le patron: Ton langage,me semble pour le moins volage!
Le chômeur: Certes,mon bon monsieur,la faute en incombe au chômage.
Le patron: Ta témérité mérite d'être récompensée par non plus quelques heures mais pour une quinzaine de jours Dimanche compris!! A prendre ou à laisser!!
Le chômeur: Vous êtes la parfaite bonté de m'avoir ainsi honorer!
Le patron: Attention mon ami,içi point de pause café,les causeries sont à oublier,ne point penser,mais beaucoup travailler.
Causer c'est bon pour les écoliers et réfléchir c'est pour les retraités
Le chômeur: Merci maître de m'avoir préféré.
Cela ne se passe point au siècle dernier,mais en 2010:
Le Français utilisé par contre est du XVIII siècle
Cet ouvrier souhaite rapidement trouver un emploi en promettant tout les sacrifices possibles à ce patron.
Le patron:
Qui est tu donc maudit va nu pieds pour ainsi sans révérence,m'infliger ta présence?
Le chômeur : Cruel,ne le soyez point,même si dans ce lieu culturel,inopinément,je viens troubler.
Le patron: Triste maraud! cruel,je ne le suis point!
Le chômeur: Sachez,que de pain et de gourdin,je n'ai nul besoin! juste un peu d'entrain.
Le patron: L'entreprise est en crise,et ce lourd fardeau,je le porte sur le dos:
Le chômeur: La société sur votre dos et moi sur le carreau!
Le patron: Tu n'est qu'un sot,néanmoins de ces quelques heures de travail,je t'en fait charité.
Le chômeur: Mes enfants ont besoin d'être choyés,et n'ont que faire de votre pitié!
Le patron: Hors de ma vue,triste gredin et prend cette bouteille,elle te fera grand bien!
Le chômeur: Par tous les saints,le vin ne me rendra point serein!
Comme je vous le disais,un peu de labeur,ne me fait nullement peur.
Le patron: Sans ambage,il est à craindre que ton âge,ne te fasses point outrage!
Le chômeur: Sur que non! C'est le chômage qui fit saccage de mon visage.
Le patron: C'est ce que l'ont me dit souvent,en attendant mon brave,je te sens quelque peut raidi.
Le chômeur: Raidit! Vous n'y pensez pas! Attendez que je vous remonte votre débit!
Le patron: A jouer les volontaires,cela ne me plaît guère.
Le chômeur: Mettez moi en place,et sur le terrain,je ferais façe.
Le patron: Mais de tes diplômes,il n'y en a trace!
Le chômeur: Le lycée fut calamité,et le chemin bien trop escarpé!
Le patron: De tes simagrées,je n'en ai cure!
Le chômeur: Être simple ouvrier,pour sur cela me conviendrait Le patron: Ton langage,me semble pour le moins volage!
Le chômeur: Certes,mon bon monsieur,la faute en incombe au chômage.
Le patron: Ta témérité mérite d'être récompensée par non plus quelques heures mais pour une quinzaine de jours Dimanche compris!! A prendre ou à laisser!!
Le chômeur: Vous êtes la parfaite bonté de m'avoir ainsi honorer!
Le patron: Attention mon ami,içi point de pause café,les causeries sont à oublier,ne point penser,mais beaucoup travailler.
Causer c'est bon pour les écoliers et réfléchir c'est pour les retraités
Le chômeur: Merci maître de m'avoir préféré.